Tuesday, April 29, 2014

One thing that I realized while doing my research is how many people think about music as a way to escape the troubles that they are facing while living in Kinshasa. Not only do people see music as a way to make enough money to actually leave Kinshasa, they also see music as a way to escape the struggles they are facing while they are still living in Kinshasa. There was one musician who had been trying for twenty years to become successful but even after that he didn’t give up trying.
There also were people who felt that their only way out of the slums and ghettos was through music. There was one women in a short documentary called “Jupiter’s Dance” who said “We want a better life. A much better life. I didn’t wanna become a whore, no! I chose music instead”. I think that this truly show how much people believe that music can get them a better life.
Here is the link to “Jupiter’s Dance”

--Simon

Thursday, April 24, 2014

Les monuments du Congo

Je ne sais pas pourquoi, exactement, mais je suis très fascinée par les monuments du Congo.  On a entendu du monument de Stanley, qui a était détruit après l’expulsion des Belges.  Il reste, encore, sur la terre, cassé et triste.  Puis, il y’avait un statue de Léopold II, devant le Palais de la Nation, qui n’est pas encore la pour la même raison.  Maintenant, dans la même place, il y’a un monument de Laurent-Désire Kabila, et c’est aussi son mausolée. 
Mais Kabila…qu’est-ce qu’il a fait ?  Il n’était pas exactement la mieux figure politique de DRC.  Doit-il être devant le Palais de la Nation?
Il est très évident que les monuments du Congo sont dépendent sur qui est en pouvoir.  Si c’est le fils de Kabila, il y’a un monument pour Kabila.  Il est évident que le peuple pense que les monuments sont signifiants, alors je pense que les monuments qui sont là représente une continuation de la dominance des politiciens sur le peuple. 

--Jacqui



Wednesday, April 16, 2014

Kinshasa et Ouagadougou

En examinant d'abord une carte de Kinshasa, j'ai été frappé par ses similitudes structurelles remarquables dans une autre ville en Afrique: Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Tout d'abord, les rues des deux villes sont pour la plupart organisés dans une grille propre, ou 'plan en damier.' Pour toute la circulation de la rue chaotique qui est typique de ces deux villes, on pourrait s'attendre dans les rues eux-mêmes pour démontrer ce chaos! Deuxièmement, les deux villes sont en train de développer de nouveaux quartiers propres, spacieuses et modernes à proximité de la ville principale. A Ouagadougou, le quartier s'appelle Ouaga 2000, au sud de la ville principale. A Kinshasa, le quartier va être appelé La Cité du Fleuve, à l'est de la ville principale, sur le fleuve Congo.

Je pense qu'il est possible de faire des liens historiques entre ces deux villes afin d'expliquer leurs caractéristiques communes aujourd'hui, même si elles sont sur ​​les côtés opposés d'un continent énorme. La République démocratique du Congo et le Burkina Faso ont été colonisés par l'Europe francophone à partir de la fin du 19e siècle. Donc, ces capitales ont été développés par des dirigeants à l'étranger, le style 'plan en damier' de développement rigide organisé était typique des colons européens d'essayer de mettre de l'ordre dans ces villes. Ces villes sont très différentes des villes européens, avec leurs rues sinueuses et déroutantes typiques d'une ville qui a une croissance organique au cours des siècles. En ce qui concerne les projets ambitieux du 21e siècle de Ouaga 2000 et La Cité du Fleuve, je pense que les deux sont à la fois le résultat de la mondialisation de l'Afrique, avec des investissements étrangers (chinois en particulier) dans les villes. Le fait que les deux quarts sont retirés des grandes villes, dans une sorte d'environnement autonome, est un témoignage du grand disparité des richesses dans ces pays, où les riches peuvent se permettre de vivre retiré du reste de la population.

Carte de Ouaga 2000. Source: cairn.info

Un tour de Ouaga 2000. Source: panoramio.com